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LAboratoire de Psychologie
Sociale et COgnitive

UMR 6024 UCA-CNRS
L'étude de la cognition depuis ses bases cérébrales jusqu'à sa régulation sous l'influence de l'environnement social

DERNIÈRES PUBLICATIONS
Deffuant, G., Roozmand, O., Huet, S., Khamzina, K., Nugier, A., Guimond, S. (2022). Can biases in perceived attitudes explain anti-conformism ? in IEEE Transactions on Computational Social Systems, doi : 10.1109/TCSS.2022.3154034.
Dezecache G., Martin J.R., Tessier C., Safra L., Pitron V., Nuss P. & Grèzes J. (2021). Nature and determinants of social actions during a mass shooting. PLOS ONE, 16. doi : 10.1371/journal.pone.0260392
Newson M., Zhao Y., El Zein M., Sulik J., Dezecache G., Deroy O. & Tunçgenç B. (2021). Digital contact does not promote wellbeing, but face-to-face does : A cross-national survey during the Covid-19 pandemic. New Media & Society. doi : 10.1177/14614448211062164
SÉMINAIRES
27/04/2023 - Camille RIOUX

Investigating the nature and ontogeny of cognitive processing shaping human food behaviors (Teams, 17h30-19h00)

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Les nouvelles pratiques de recherche : qu’en est-il 10 ans après le début de la crise de la réplication ? (Salle 307, 10h30-12h00)

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Les stéréotypes de genre : un frein à la parité femmes - hommes ?

publié le , mis à jour le

Mercredi 18 octobre 2017. Mercredis de la Science par Delphine Martinot. De 16h15 à 17h30 à l’Amphi Recherche de pôle Physique (Campus des Cézeaux - Aubière).

Dans le cadre des Mercredis de la Science organisés par l’Université Clermont Auvergne, Delphine Martinot présentera une conférence sur les "Stéréotypes de genre : un frein à la parité femmes - hommes ?".

 

Cette conférence (entrée libre) se déroulera le :

- Mercredi 18 octobre
- de 16h15 à 17h30
- à l’Amphi Recherche de pôle Physique, Campus des Cézeaux, Aubière

 
Résumé

Comparativement aux hommes, les femmes continuent de choisir des orientations professionnelles moins « rentables » en matière de salaire, pouvoir ou prestige. Pourtant, les filles réussissent mieux scolairement que les garçons. Pour rendre compte de ce paradoxe, nous avons étudié le rôle de certains stéréotypes de genre et avons pu montrer qu’ils agissent comme de puissants facteurs de justification de la domination masculine dans notre société en entretenant l’idée que les femmes ne posséderaient pas suffisamment les caractéristiques propices à la poursuite d’études prestigieuses.

Nous avons également interrogé le rôle de l’école dans la promotion de l’(in)égalité des sexes et démontré le rôle délétère de la fonction de sélection du système éducatif sur certains processus psychologiques et sur les choix d’orientation des étudiantes.